
Vianney Fontaine-Descambres, Directeur Administratif et Financier chez SARF, livre son témoignage après l’utilisation du service Filib’ en 2020.
Qu’est-ce qui vous a motivé dans le choix d’une solution comme Filib’ ?
Vianney Fontaine-Descambres : Nous voulions jouer à fond la carte de l’intéressement, et que l’information sur notre dispositif d’épargne salariale apporte une réelle plus-value à nos salariés, qui sont plutôt jeunes et pas très au fait des sujets financiers. En tant qu’employeur, le seul “conseil” que nous nous autorisions à leur donner était de placer leurs primes sur le fonds monétaires s’ils ne souhaitaient prendre aucun risque. Mais depuis quelques années on ne peut même plus dire cela, et notre banque n’entretien pas une relation suffisamment proche des salariés pour pouvoir les conseiller. Pour nous il y avait une case vide.
Qu’est-ce qui a freiné ou accéléré votre prise de décision ?
Vianney Fontaine-Descambres : Le principal sujet était d’instaurer la confiance entre Filib’ et les salariés. L’organisation d’une web-conférence avec toute l’équipe au moment du lancement y a largement contribué. Egalement, le fait de pouvoir bénéficier du service à la demande sans changer de fournisseur d’épargne salariale a clairement été un accélérateur.
Quels ont été les facteurs clés de succès ?
Vianney Fontaine-Descambres : Je pense que nous avons fait levier sur un besoin déjà existant (mais pas forcément exprimé) chez les salariés, sur un sujet important, et avec le bon positionnement (conseil donné ni par l’entreprise ni par la banque). Du coup un bouche à oreille positif s’est assez vite mis en place.
Finalement qu’en retirez-vous et comment voyez-vous les choses à l’avenir ?
Vianney Fontaine-Descambres : D’abord l’usage très fort pour une première campagne (près de 40% des salariés) a prouvé qu’on répondait efficacement à leur besoin, ce qui est toujours un motif de réussite en tant que tel.
Ensuite, la satisfaction et les verbatim des salariés (“Merci beaucoup, c’est un super service, j’espère que mes collègues vont l’utiliser, c’est fou de voir qu’on donne des outils à des salariés qui ne savent absolument pas s’en servir et je pense aussi à mes frères dans d’autres entreprises.”) qui rejaillissent forcément sur la Direction.
Pour la suite nous comptons sur une acculturation croissante au service Filib’, et donc à une maîtrise progressive du dispositif d’épargne salariale, qui rejoint progressivement le sujet essentiel de la retraite, pour que chacun puisse tirer le meilleur parti de ce qui a été mis en place – rappelons-le – par l’entreprise !
Autant certains services aux salariés peuvent parfois tomber comme un cheveu sur la soupe, autant celui-ci nous a semblé on ne peut plus naturel.