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Elsa Daures nous parle de son parcours professionnel et de son engagement avec Filib’

Quel est votre parcours ? 

Je suis juriste, j’ai étudié le droit civil, orienté “entreprises”, et j’ai ensuite préparé l’école d’avocats avant de commencer à travailler. 

A l’origine je faisais du contentieux contre les conseillers en gestion de patrimoine qui ne travaillaient pas bien! Ce métier m’a attiré, car il permet d’allier l’aspect juridique à la pratique de la gestion de patrimoine, pour offrir une approche très complète aux clients.

J’ai commencé à l’Union Financière de France (UFF), puis j’ai créé mon cabinet sur Toulouse il y a deux ans. Je suis passionnée par mon métier, très active, et j’ai besoin de me nourrir de cette activité, qui est ma source d’énergie principale. 

Comment avez-vous entendu parler de Filib’ ? 

Sur la recommandation de Benoît Madelon (également coach Filib’) qui m’a proposé de rejoindre l’aventure !

Quelle est la différence entre votre activité de conseillère en gestion de patrimoine et de coach Filib’ dans l’approche du client ? 

Dans notre travail avec Filib’, nous sommes là pour donner de l’information et des éléments pertinents aux coachés, ainsi que le goût de s’intéresser à leur épargne entreprise. Avec nos clients,  nous sommes sur un accompagnement au long cours, notamment dans la mise en place de certaines démarches. 

On a souvent avec Filib’ des personnes qui ne gèrent pas du tout leur épargne, qui sont assez novices sur ces sujets, donc nous allons faire beaucoup de pédagogie. J’aime beaucoup cette approche pédagogique avec Filib’. 

Combien de temps cela occupe t-il dans votre activité ? 

C’est assez aléatoire, j’organise mes semaines au fur et à mesure. Je ne suis pas quelqu’un qui organise ses rendez-vous un mois à l’avance, et les coachings Filib’ arrivent justement au fil de l’eau, donc ça vient se glisser dans mon agenda. Cela peut varier d’un jour à l’autre, et j’en fais beaucoup le samedi. 

Parmi les personnes que vous rencontrez, comment vous adaptez-vous au niveau de connaissance des coachés ? 

Ce que Filib’ nous donne à travers ses outils et sa méthodologie permet vraiment de mener un entretien en 30 minutes tout en couvrant l’essentiel.  On ne peut pas se permettre de rentrer dans des détails qui finalement ne sont pas nécessaires à ce stade de la réflexion du coaché. 

“C’est vraiment grâce à la méthodologie de Filib’, et aux outils à notre disposition que nous pouvons nous adapter efficacement au niveau de chacun”. 

Pour des gens qui ont des connaissances équivalentes aux vôtres, l’échange reste t’il intéressant ? Y’a t’il des coachés qui prennent rendez-vous malgré un niveau de connaissances très important ? 

Cela arrive même si c’est marginal. Dans ce cas, on  adapte notre discours. On cerne très vite la personne qu’on va avoir en face de nous, et on pourra rapidement savoir si elle est novice ou est assez pointue sur ces sujets. Nous offrons un discours très pédagogique aux plus novices, et pour les plus expérimentées nous pouvons nous permettre de rentrer plus dans des détails pour les informer à hauteur de leur niveau.

L’outil vidéo était-il déjà présent dans votre profession ? Comment la pandémie a-t-elle fait évoluer le rapport des coachés à la télé-consultation ? 

Les outils et notamment la télé-consultation sont indispensables ! On le voit avec nos clients, c’est très important d’être face à la personne, pour comprendre et convaincre. “L’essayer c’est l’adopter”, et les outils Filib’ sont très satisfaisants :  c’est rare qu’on ait des personnes qui ne les apprécient pas. Ils aident à comprendre en quelques minutes l’essentiel.

Dans ma pratique de conseillère en gestion de patrimoine,  l’approche a aussi changé. Je vois la majorité de mes clients physiquement, mais environ 15-20% sont maintenant des gens qui viennent de partout en France, ou des expatriés, avec qui je peux travailler en visioconférence. Cette pratique de la télé-consultation que propose Filib’ s’est vraiment démocratisée. 

Avez-vous des retours de la part des coachés après l’entretien ? 

Nous leur demandons à la fin de l’entretien systématiquement un verbatim, et en général les retours sont très positifs, c’est assez unanime. Mais cela met un petit peu la pression, car on n’a pas envie d’échouer ! Et quand on a pas un 10/10 on se dit qu’on a loupé quelque chose, et on se remet un petit peu en question.

“‘J’aime beaucoup le fonctionnement de Filib’, c’est très novateur et les gens adorent, je suis ravie de participer ! “

Quid de la phase de formation avant les nouvelles opérations ? 

L’idée c’est de connaître parfaitement les contrats pour être en mesure de répondre à la majorité des questions, et d’être à l’aise quand on interagit avec les coachés. C’est ça aussi le gage d’efficacité en 30 minutes, car si l’on a pas ces informations préalables ça paraîtra peu professionnel et ça durera plus d’une demi-heure.  Même si l’on a pas les yeux rivés sur la montre!

Pour finir, quels sont vos hobbies et passions ? 

Je suis une jeune maman de deux garçons qui sont bourrés d’énergie, donc profiter à fond de la vie avec mes deux enfants,  rire, voyager ! Mes vraies sources d’intérêt sont ce que je peux faire avec eux, et mon activité professionnelle !

Auteur : Corentin Schimel

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Post Author: Le Blog de la Téléconsultation Financière

Filib' : la téléconsultation financière pour les salariés

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